Trouver un restaurant de fruits de mer à Paris est devenu assez facile. Mais en trouver un très bon, où la fraîcheur n’aura d’égal que la qualité de la table, où la présentation ne sera pas oubliée, où le service sera à la hauteur et où les accompagnements seront dignes de ce magnifique plateau qui vous attend, peut parfois faire appel à plus de difficultés. Bien sûr, tout est subjectif et chacun pourra trouver que telle ou telle enseigne aurait dû être notée ou que telle autre n’aurait par dû y figurer. D’autant que les chefs changent parfois, les propriétaires aussi, de même que le personnel et les cartes. Il peut arriver qu’un restaurant ne soit plus tout à fait aussi digne de cette confiance ou qu’un autre ait largement gagné en réputation. Mais, s’appuyant sur des références réputées pour les sélectionner, on peut retenir les restaurants suivants :

  • Les Fables de la Fontaine. Au 131 rue Saint-Dominique, ce restaurant vous propose sa carte de 35 à 120 euros où figure son croustillant de langoustines au basilic, émulsion d’agrumes et romaine au parmesan.
  • Helen. Au 3 rue Berryer, ses prix s’étalent de 48 à 160 euros avec spécialités de fruits de mer et de poissons.
  • Antoine. Au 10 avenue de New-York, poissons et fruits de mer sont proposés de 42 à 120 euros.
  • Rech. Situé au 62 avenue des Ternes, avec des menus et cartes qui vont de 44 à 85 euros. Au-delà des fruits de mer, il vous fera saliver avec son carpaccio de mulet aux oursins de pleine mer.
  • Jin. Sis au 6 rue de la Sourdière, vous craquerez pour son tartare de chair de crabes et son corail. Prix s’étalant de 65 à 145 euros.
  • Gaya Rive Gauche par Pierre Gagnaire. Table incontournable de Paris, Pierre Gagnaire propose des tarifs de 50 à 100 euros. Au menu, par exemple, sa chair de tourteau, coquillages, salicornes, mayonnaise au raifort ou son blanc de saint-pierre grillé, marinière de coques, couteaux à la nantaise. 44, rue du Bac ou 6 rue de Balzac.
  • Le Pré Catelan. Aux portes du Bois de Boulogne, la cuisine de Frédéric Anton n’est pas spécialisée que dans le ris de veau mais offre aussi une belle panoplie de fruits de mer. Tarifs : de 60 à 300 euros.
  • L’Astrance. De 70 à 230 euros, vous bénéficierez de la cuisine du chef Pascal Barbot, élève de Passard. Au-delà de son célèbre sandwich de foie gras aux champignons de Paris, il peut aussi vous délivrer un très beau plateau de fruits de mer.
  • Ledoyen. Ce chef propose des fruits de mer comme ses moules du Mont Saint-Michel, pour des menus de 128 à 500 euros, au 8 avenue Dutuit, près du métro Champs Elysées – Clémenceau.
  • L’Arpège. Le restaurant d’Alain Passard propose des tarifs de 135 à 365 euros. Au 84 rue de Varenne, vous pourrez déguster son tourteau ramoneur beurré délicatement.

Pour aller plus loin dans votre recherche de restaurant, on vous invite aussi à découvrir les meilleurs poissons gras pour lutter contre le cholestérol sur cet article !

Les poissons gras sont une excellente source d’acides gras oméga-3, qui peuvent aider à réduire les niveaux de triglycérides dans le sang, à diminuer l’inflammation et à stabiliser le rythme cardiaque. Manger régulièrement du poisson gras peut aider à prévenir les maladies cardiaques et à réduire le risque d’attaque cardiaque. Voici une liste de poissons gras recommandés pour ceux qui cherchent à réduire leur cholestérol :

  1. Saumon : C’est peut-être le poisson le plus populaire pour sa teneur en oméga-3. Le saumon sauvage, en particulier, est une excellente source.
  2. Maquereau : Il contient une grande quantité d’oméga-3 et est également riche en vitamines D et B12.
  3. Sardines : Ces petits poissons peuvent être consommés en boîte ou frais. Ils sont riches en oméga-3 ainsi qu’en calcium si vous mangez leurs arêtes.
  4. Anchois : Ils sont souvent consommés en conserve, mais peuvent aussi être achetés frais. Les anchois sont une autre excellente source d’oméga-3.
  5. Hareng : Ce poisson peut être consommé fumé, salé ou mariné, et est une autre bonne source d’acides gras oméga-3.
  6. Truite : La truite arc-en-ciel, en particulier, est une bonne source d’oméga-3.
  7. Thon : Bien qu’il contienne des oméga-3, il est important de consommer du thon avec modération en raison de la possible présence de mercure. Le thon germon ou le thon albacore jeune est généralement recommandé par rapport au thon obèse, car il contient moins de mercure.

Il est recommandé de manger du poisson au moins deux fois par semaine pour bénéficier pleinement de ses avantages pour la santé. Néanmoins, il est nécessaire de varier régulièrement les types de poissons que vous consommez et de faire attention aux recommandations concernant la consommation de certains poissons en raison de préoccupations telles que la présence de contaminants.

De plus, si vous vous préoccupez de la durabilité, il serait utile de vérifier les recommandations et les certifications concernant la pêche durable !

Qu’est ce que la pêche durable ?

La pêche durable fait référence à des pratiques de pêche qui visent à préserver l’équilibre des écosystèmes marins tout en garantissant le bien-être socio-économique des communautés qui dépendent de la pêche. Elle cherche à assurer que les populations de poissons ne sont pas surexploitées et que les techniques de pêche utilisées n’endommagent pas les habitats marins ou d’autres espèces.

Voici quelques principes clés de la pêche durable :

  1. Pas de surexploitation : Les stocks de poissons sont exploités à des niveaux qui permettent de les maintenir à une taille qui peut produire le rendement maximal durable.
  2. Minimisation des impacts écologiques : Les techniques de pêche doivent réduire au minimum les dégâts aux écosystèmes marins. Cela comprend la réduction des prises accessoires (prise d’espèces non ciblées) et la protection des habitats sensibles.
  3. Gestion efficace : Des règlements et des mesures de gestion sont mis en place pour maintenir ou restaurer les stocks de poissons à des niveaux sains, ainsi que pour réguler l’effort de pêche.
  4. Équité socio-économique : Les bénéfices de la pêche doivent être répartis équitablement pour soutenir le bien-être socio-économique des communautés locales et promouvoir des emplois justes et stables.
  5. Suivi et adaptation : La pêche durable exige une surveillance régulière des stocks de poissons et des impacts de la pêche. La gestion doit être adaptative, c’est-à-dire qu’elle doit être en mesure de s’ajuster en fonction des nouvelles informations ou des changements dans les conditions.

Il existe des certifications pour la pêche durable, comme celle du Marine Stewardship Council (MSC), qui évalue et certifie les pêcheries selon des critères de durabilité. Ces certifications permettent aux consommateurs de choisir des produits issus de la pêche durable et encouragent les pratiques de pêche responsables à l’échelle mondiale.

En résumé, la pêche durable vise à assurer que la pêche d’aujourd’hui n’entrave pas la capacité des générations futures à bénéficier des mêmes ressources marines. Elle reconnaît la nécessité d’équilibrer les besoins économiques, sociaux et environnementaux.