C’est le propre des poissonniers et autres commerçants de fruits de mer, les crustacés et autres animaux à coquille s’étalent sur les étals. Mais dans ce phénoménal festival invertébral (à 2 bonjour les dégâts) ne la jouons pas trop “sentimental”.
La coquille est, avant tout, une protection. D’autres l’ont aussi compris, demandez aux boxeurs ou aux joueurs de hockey (pas ceux qui l’ont parce qu’ils ont trop mangé de crustacés).
Une coquille dans un texte
Pour commencer à vous parler des coquilles, on va tout d’abord, comme les copains, comme aurait dit Georges, vous faire un topo sur la typo. Car, qui dit coquille, dit mieux vaut (la vache, le cochon et la couvée viendront plus tard, car lui est de mer – et de père inconnu), mieux vaut, donc, ne pas en faire.
L’origine de la coquille, celle de la typo, si vous avez oublié où nous en étions, mérite d’être rappelée. L’explication est simple. Au temps des lettres de plombs (Saturnin ne s’en est pas encore remis, il connaît la musique) à aligner pour pouvoir écrire les textes à imprimer, il pouvait être redoutable d’oublier la lettre « Q » dans le mot « coquille »…. surtout dans le potage, pourrait-on ajouter dans un coin (un véritable couac). De quoi, dans ce cas extrême, rester avec une drôle d’impression… Nous pourrions conclure ce paragraphe en annonçant que, au final, c’est quand même un sacré bulot de ne pas laisser de coquille ! (si vous en trouvez ici, c’est que vous n’avez pas compris le jeu de mot…).
Une coquille dans l’assiette
Certains de ces crustacés se mangent crus puisque cru c’est assez (comme disait la baleine…). C’est le cas des huîtres, là où le bigorneau (qui est aussi hermaphrodite, comme son nom l’indique) se mange cuit. Mais bi, il est deux fois cuit et risque de s’envoler.
Parmi ces coquilles, il y a la Saint-Jacques, qui composte, elle, ou le bulot, un travail où l’on n’a pas grand chose à faire.
Enfin, pour aller les pêcher, mieux vaut ne pas prendre une coquille de noix, au risque de se prendre une châtaigne, pauvre “pécheur”, et de s’en repentir. La messe est dite !
Une coquille animée (il faut la rendre à Pierre 🙂
Mais que serait la coquille sans son Caliméro ? Parce que si dans la cale y met l’roux, j’ai… quand même une hésitation à le faire rentrer dans sa coquille. Encore que, en cette période pré-hivernale on va encore se l’écailler, et c’est pas l’oeuf qui dira le contraire (ni le laitier)… D’autant qu’on ne sait toujours pas qui de l’oeuf ou de la poule… Alors débarrassons le poussin de sa coquille et osons la liberté. Oui, Cali met de la paix aussi dans nos esprits !
Et puis un Cali noue les gens devant un bon plat de coquille-ette, qui l’eut cru (comme dit plus haut, si si relisez…). Donc une fois le Cali né, il nous a fait son nu, Méro.
Pour en finir avec toutes ces coquilles, on pourrait aussi vous renvoyer à un article sur le QI d’une huître qui, à la lecture de ces quelques mots, nous a finalement avoué ne rien comprendre… Nan mais à l’eau quoi !
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